« Parmi ces 100.470 personnes, 27.766 sont des agents de santé de première ligne, 26.328 sont des contacts à haut risque de cas confirmés et 46.376 sont des contacts de contacts », détaille-t-il dans ce document présentant l’évolution de la riposte.
Le seul vaccin à être utilisé dans la riposte est le vaccin rVSV-ZEBOV fabriqué par le groupe pharmaceutique Merck, après l’approbation du Comité d’Éthique dans sa décision du 19 mai 2018.
La stratégie utilisée de vaccination lancée le 8 août 2018, une semaine après l’apparition de l’épidémie semble résoudre progressivement le problème. Et ce, en créant un cercle de personnes immunisées contre le virus Ebola autour d’un patient confirmé afin de briser la chaîne de transmission.
L’Institut National de Recherche Biomédicale (INRB) et l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) ont publié samedi 13 avril les résultats préliminaires d’une étude sur l’efficacité du vaccin rVSV-ZEBOV-GP afin de contrôler l’épidémie d’Ebola. D’après les données collectées, l’efficacité du vaccin est estimée à 97,5%.
Selon les informations, plusieurs dizaines de nouveaux cas confirmés ces dernières semaines sont particulièrement à Butembo et Katwa, deux foyers actifs de la maladie au Nord-Kivu.
Source : Afrique Média